Contenu

La communauté terrestre

Résumé
Une réflexion sur la Terre, ses devenirs et la sorte de communauté qu'elle forme avec la cohorte des espèces animées et inanimées qui l'habitent. L'auteur montre comment notre relation fondamentale à la Terre est basée sur les notions d'existence et de passage.
Durée: 8h. 16min.
Édition: Paris, La Découverte, 2023
Numéro du livre: 76952
ISBN: 9782348072383

Documents similaires

Durée : 4h. 45min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 75897
Résumé:Une réflexion sur la rupture de l'homme contemporain avec la nature et toutes les autres formes de vie, qu'elles soient animales ou végétales. Ce rapport dénaturé à la terre entraîne un déséquilibre ou vertige, face à l'ampleur de la crise écologique que l'écrivain tente de dépasser en s'inscrivant dans un monde plus vaste.
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 8h. 41min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 36804
Résumé:A une époque où la sécurité nous est donnée comme valeur principale, où l'exacerbation des peurs de toutes sortes et la servitude volontaire sont encouragées, ce livre fait l'éloge de la prise de risque. Cet ouvrage pose comme question centrale : qu'est-ce que risquer sa vie, à savoir prendre le risque de vivre ? Dans de courts chapitres, sont explorés les divers lieux où le risque se rencontre : la vie amoureuse, la séparation, la dépendance, mais aussi la vie sociale, le langage ou les biotechnologies.
Durée : 2h. 42min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 77134
Résumé:L'autrice livre une réflexion sur la respiration. Partant de son expérience personnelle, elle pense que la pandémie de Covid-19 a changé le rapport au souffle et, à travers des expériences, des récits ou encore des poèmes, elle exprime les asphyxies de la société ainsi que cette nouvelle condition respiratoire, expliquant que respirer est un acte politique.
Lu par : Edgard Raeber
Durée : 7h. 10min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 71768
Résumé:Immense scientifique à la renommée internationale, Jane Goodall est à jamais celle qui a démontré que l’outil n’était pas le propre de l’humain. L’histoire de cette jeune femme vivant avec les chimpanzés en Tanzanie dans les années 50 avait fasciné le monde entier, mais il lui aura fallu des décennies pour faire entendre l’essentiel de sa découverte : l’être humain n’est pas le centre du monde, mais un individu « sapiens » parmi toutes les espèces vivantes. Cette révolution des mentalités qu’elle a engagée avant tous est désormais réactualisée par les événements dramatiques qui frappent la planète : le réchauffement climatique, la disparition des espèces végétales et animales, mais aussi la pauvreté accrue de populations. Dans ce livre, la célèbre messagère de la paix des Nations Unies s’appuie sur son parcours de vie pour livrer à notre réflexion ses raisons d’espérer. Elle en appelle à un nouveau code moral universel pour relever les défis que font peser les menaces environnementales sur l’ensemble du monde vivant et redéfinir les liens entre l’humain et la nature.
Lu par : Anne Tardy
Durée : 12h. 11min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 67279
Résumé:Le Japon vit depuis trente ans une crise économique et sociale multiforme. Sa dette publique est la plus élevée du monde. Les revenus stagnent, le taux de pauvreté est le double du nôtre, sa population diminue et vieillit massivement, sa jeunesse paraît démoralisée... Pourtant, le Japon se tient et se supporte fort bien lui-même. Il est dur et brutal sous certains aspects, mais le chômage y est inconnu, la délinquance négligeable et les services d'une qualité inimaginable. Ce qui divise les Français, à commencer par les religions et les médias, y conforte au contraire la cohésion nationale. Sportifs et célébrités en tous genres se doivent d'être exemplaires, sous peine d'être durement sanctionnés par l'opinion. Du haut en bas de la société, on s'excuse, souvent pour très peu et parfois pour beaucoup, et ce rituel qui, vu de chez nous, semble n'être que du théâtre a une réelle efficacité sur le moral de la communauté. On peut y voir le résultat d'un formatage omniprésent dès la petite enfance, dont le conformisme tue le dynamisme, la créativité et les rêves. Mais on peut aussi penser que la manière dont le Japon échappe aux fractures qui stressent la France, et à certains des maux qui pourrissent la vie des Français, vaut d'être regardée de plus près. Quitte à ce que les leçons que peut donner le Japon semblent attentatoires à ce qui est politiquement (et autrement) « correct ».
Durée : 7h. 41min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 75572
Résumé:Réflexion de philosophie politique sur l'évolution du concept de République en France, désormais guidé par une perspective culturelle et non plus sociale. Cette nouvelle approche se manifeste par le rejet de toute reconnaissance publique des différences identitaires. Selon l'auteur, cet effacement des différences est un frein à l'égalité des autonomies.
Lu par : Daniel Chevalier
Durée : 9h. 38min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 76597
Résumé:A l'été 2024, la France accueille les jeux Olympiques, une décision qui a suscité de nombreuses polémiques. Au-delà de toute exaltation sportive, le délégué spécial aux jeux Olympiques et Paralympiques analyse les bénéfices pour la ville et ses territoires adjacents sur le plan de l'économie, de l'urbanisme, ou encore du développement des infrastructures mais aussi de la cohésion nationale.
Durée : 9h. 25min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 68915
Résumé:Dans cet essai, la philosophe s'intéresse à la notion de confiance à travers la judiciarisation des rapports contractuels, le désir de contrôle, le refus de montrer sa vulnérabilité, etc. Elle montre de quelle manière cela engendre une société de la méfiance, ou de la défiance.
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67646
Résumé:Une angoisse nous hante : être en retard. Nous vivons notre vie quotidienne, notre travail, l’éducation de nos enfants, et même nos vacances dans une telle crainte du retard que nous finissons par être en avance sur tout, par tout anticiper. Nous avons perdu le sentiment du temps, et avec celui-ci le sentiment de notre existence. Être en retard, c’est faire l’école buissonnière, prendre des chemins de traverse, ne pas aller droit au but, c’est introduire d’infimes variations qui peuvent faire dérailler les rouages bien huilés de nos vies trop machinales. C’est finalement vivre. Face aux valeurs dominantes de nos sociétés modernes – fluidité, flexibilité, urgence et vitesse – et aux pathologies qui en découlent, le retard, un « laps » de temps qui nous permet de ressaisir notre condition temporelle, devient une véritable stratégie de résistance.
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 75811
Résumé:Donnant la parole aux grands philosophes, Q. Bertrand s'interroge sur la place du handicap dans la société, sur le rapport de la personne handicapée à autrui mais aussi avec elle-même. Il interroge ainsi ce qui fonde l'humanité d'un homme et l'origine des peurs que suscite le handicap.
Durée : 5h. 54min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 74432
Résumé:Alors que les débats sur l'usage des produits phytosanitaires défraient régulièrement la chronique, l'écrivain voyageur, fils et petit-fils de paysans, décide au tournant de la quarantaine de revenir vivre à la campagne. Mêlant reportage sur le terrain et réflexion personnelle, il part à la rencontre d'un monde agricole qui se révèle, contre les idées reçues, en constante réinvention.
Durée : 12h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 75058
Résumé:Après avoir divorcé et quitté sa ferme apicole dans les monts Ozarks, S. Hubell vit un nouvel amour et s'installe dans le Maine, au bord de la mer. Elle se passionne pour la faune marine et observe les petits animaux qui peuplent les rivages. Elle établit des comparaisons entre ces animaux et l'homme, rappelant que l'espèce humaine n'est supérieure à aucune autre.